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 Erianor Ankh

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AuteurMessage
Erianor Ankh
Empoisonneur empoisonné
Erianor Ankh


Messages : 30
Points RP : 25
Âge : 300 ans
Race : Lycanthrope
Profession : Empoisonneur au service des lycans

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MessageSujet: Erianor Ankh   Erianor Ankh Minilogopm8-ccdc98Mar 10 Nov - 9:08

Ouvertures de sujets pour Florence In Ténébris.

Contexte : Erianor est un lycan de 300 ans qui exerce différents arts, dont celui de manier à la perfection les poisons. Il élimine pour le compte des lycans libres, les démons posant problème.

Ouverture I

    En cette nuit marquée au fer rouge, ruelles et demeures s'en trouvaient empourprée. De ses rayons, la lune rousse, colorait Florence. Tâché par le sang des hommes, souillée par celui des lycans, la cité ce soir verrait celui d'un démon couler.

    Tapis dans l'ombre, cela faisait plusieurs heures que le loup déjà suivant sa proie égarée. Il s'agissait d'un démon à peu d'expérience, mais aux yeux du chasseur, cela n'avait aucune importance. Ils étaient tous les même et n'avait jamais fait de rencontre l'ayant fait quitter cet esprit catégorique. Silencieux, il suivait sa victime future. Sa célérité, son esprit d'analyse, son soucie du détail et sa paranoïa, faisaient de lui un ennemi redoutable. Dans ses déplacements, il n'émettait pas le moindre son. Veillant au sens du vent pour ne pas diffuser son odeur dans le cas ou l'infernal jouirait de sens particulièrement développés, il attendait son heure.

    Erianor travaillait au service des lycans libres. Il avait mis à leur disposition son savoir, son art du poison, mais aussi, celui de donner la mort. Sans remord ni pitié pour ces abominations de la nature, il n'échouait jamais lors d'une mission, préférant la mort au déshonneur d'un échec. L'empoisonneur avait reçu un contrat sur la tête de celui qui était à présent sa proie, un certain Rimbaud Vin Dona. Le plus jeune des fils d'une famille de démon influente à Florence. Il n'avait pas cherché à savoir ce qu'il avait fait ou non, sa mission était de le tuer et ces questions s'arrêtaient là.

    Une impasse... La proie venait de signer son arrêt de mort elle-même. Sur les toits, observant sa victime, le loup se léchait déjà les babines, observant en contrebas. Il s'assura qu'il n'y eut ni gêneurs, ni témoins. Il n'en laissait d'ailleurs jamais derrière lui et signait ses méfait d'une orchidée noire.

    S'interrogeant sur la méthode à suivre, non par doute mais selon son bon plaisir, dans les hauteurs, il ne quittait pas l'inconscient du regard.

    Finalement, il opta pour un peu d'action. Posant une main sur le rebord du toit, il prit appui dessus pour se jeter dans le vide et atterrir sans un bruit derrière le jeune démon. Seul le déplacement d'air de son mouvement et le claquement du tissu de sa pèlerine furent détectable et l'infernal se retourna. Grossière erreur, il aurait mieux fait d'user immédiatement de ses pouvoirs. Déjà le kriss pénétrait la chair de son abdomen et le poison dont la lame avait été précautionneusement recouverte, s'insinuait dans son organisme.
“ Il est déjà trop tard, tu es mort.”
    Sans la moindre hésitation, il repoussa le blessé du plat du pied alors que celui-ci s'écroula. Admirant son oeuvre alors que déjà le démon cicatrisait, il s'en approcha. La créature avait beau avoir une faculté de dégénérescence similaire à celle des lycanthropes, le poison causait déjà bien trop de dégât. Se penchant sur le corps à l'agonie, Erianor essuya sur ses frusques la lame de son kriss. Un souffle, un murmure quitta les lèvres de l'infernal alors qu'il rendait son dernier souffle.
“ Pourquoi...”
“ Parce que j'en avait cruellement envie.”
    Se détournant désormais de celui qui venait de rendre l'âme, il regagna les toits. Le contrat avait été honoré et une orchidée noire avait été laissée près du cadavre en guise de signature, d'avertissement. Il avait emporté une mèche de cheveux de sa victime afin d'apporter la preuve de sa réussite au dépositaire du contrat.

    Faisant un détour plus que raisonnable afin de s'assurer de le pas avoir été suivit, démonstration de son degré de paranoïa, il avait bien parcouru trois kilomètres avant de finalement s'approcher de lieu de survie des lycanthropes libres.

    Brusquement, il s'immobilisa en pleine rue. Il venait d'entendre des pas... Erianor se trouvait trop près du couvent à son goût pour ne pas s'assurer de l'identité de cet individu. S'il s'agissait d'un humain, alors cela n'avait que peu d'importance. S'il s'agissait d'un démon, l'un d'eux perdrait la vie à cet endroit. En revanche, s'il s'agissait de l'un des sien, la prudence devrait être de mise. Les bruits de couloir voulaient que certains d'entre eux soient en réalité, des traîtres...


Ouverture II

      Une nouvelle nuit, un nouveau contrat à honorer. Il avait reçu l'identité de sa victime future dans une boîte morte dissimulée sous les étales d'un marché. Passant au coeur des étalages au levé du jour, examinant les marchandises comme s'il avait été un client potentiel, l'assassin c'était emparé de l'enveloppe cachetée par ses commanditaires au nez et à la barbe de tous. Il avait ensuite quitté la grande place pour se retirer dans l'un de ses nombreux refuges relativement éloignés du couvent afin de ne pas attirer l'attention sur ce dernier s'il se faisait prendre. Ses caches n'étaient que bâtiments en ruines, vielles granges, vieilles fermes et autres bâtisses délabrées. Il ne laissait jamais rien en ces lieux pouvant faire remonter jusqu'à lui, ses commanditaires ou bien le Couvent. Il avait la réputation de ne jamais laisser d'autres traces que sa signature, une orchidée noire. Il n'était pas question de faillir à sa réputation. Dans son domaine, il était le meilleur et à moins de trépasser, il comptait bien le rester.

      Ce ne fut qu'une fois dans l'un de ses refuges qu'il ouvrit l'enveloppe cacheté en brisant le sceau de cire. A sa grande surprise, il découvrit non pas un, mais trois noms. Que c'était-il passé pour que le Couvent augmente ainsi la cadence ? Quelques informations sur ces cibles lui étaient également révélées. Dans une semaine, ces dernières seraient au Giardino delle Rose. Des portraits fait au charbon accompagnaient quelques notes décrivants ses futures victimes, leurs pouvoirs. Il s'agissait de croquis rapide afin de donner une idée sur ceux qui perdraient la vie bientôt. L'assassin disposait d'une semaine pleine pour s'organiser, c'était plus que suffisant.

      Dès le lendemain, il parti en repérage des lieux. Le moindre bosquet et arbuste fut étudié au point que rapidement, sur le papier, un plan des plus précis du somptueux jardin, fut dressé. Il reviendrait plusieurs fois ensuite afin de juger de la fréquentation de l'endroit une fois le soir venu. S'en suivit plusieurs jours durant, la préparation de ses précieux poisons. Passé maître dans la connaissance des plantes et minéraux, il ne se limitait pas seulement à ces simples création. Dans ses fioles aux teintes menaçantes de mise en garde, se trouvaient également somnifères, hallucinatoires, paralysants, anesthésiants, explosifs, mais également, de quoi produire d'épais écrans de fumée particulièrement pratique afin de s'assurer de la sécurité de tout retrait. De jour comme de nuit il oeuvrait sur ses trésors ne s'arrêtant que pour se rendre au Giardino delle Rose la nuit tombée afin d'étudier plus encore les lieux.

      Le grand jour arriva plus vite encore qu'il ne l'aurait pensé. Au levé du soleil, il s'était rendu chez un petit fleuriste du coin afin de se procurer quatre orchidées noires. Il les régla d'une pièce d'or, sans s'intéresser au retour de la monnaie. Afin de ne pas être identifiable, son visage était resté encapuchonné. Le loup, était à présent assis aux pieds d'un arbre au coeur du jardin, pour attendre patiemment. Il savait que ses cibles devraient passer par cet endroit obligatoirement. À cette heure, le Giardino delle Rose n'était pour ainsi dire pas fréquenté. Tant mieux, cela lui éviterai de devoir réduire au silence quelques gêneurs. Il n'avait aucun état d'âme, sous ses poisons pouvaient tomber lycanthropes, démons ou bien humains, cela lui restait indifférent. Il n'y avait qu'une fois le sommeil venu que parfois certains revenaient le tirailler. Il ne servait pas le plus offrant, il ne remplissait pas non plus les contrats de tout le monde. Il n'avait choisit de rejoindre le couvent que parce qu'il s'agissait d'un moyen pour retrouver son frère. D'ailleurs, jamais il ne leur avait juré fidélité.
      À chaque démon mis à mort, mes pas s'approchent un peu plus de mon frère. Du moins, c'était là ce dont il se persuadait.

      Il était capable de tout pour cet unique objectif et même si le principal intéressé avait tout fait pour l'en dissuader, cette idée ne le quittait pas. S'en était même devenu une obsession au point qu'il n'était plus rare de le voir quitter la réalité de plus en plus souvent.

      Emmitouflé dans sa pèlerine, le visage dissimulé, parfaitement immobile au point que cette silhouette noire qui se voyait au loin pouvait passer pour celle d'un mort ou bien d'une statue, seule les volutes de fumée qui quittaient ce que l'on devinait être la tête du chasseur, affichaient le moindre signe de vie. Le temps s'écoula, une heure, peut-être deux et enfin vinrent les cibles. Chose qui n'avait pas été prévue au programme, elles étaient accompagnées. Le meurtrier soupira rageur, il aurait pourtant dû s'en douter. Depuis qu'il sévissait de plus en plus souvent, rares étaient les démons “importants” qui sortaient dans les rues de Florence à une telle heure sans un minimum de sécurité. Pourtant, jamais il n'avait manqué un contrat, et il n'avait pas l'intention que ça commence ce soir. L'échec, il ne le connaissait pas lorsqu'il s'agissait de chasse. Il perdrait certainement quelques plumes et peut-être plus, mais il n'allait pas renoncer.

      Ce fut l'un des deux “protecteurs” qui le remarqua en premier. Prenant les devant, il se hâta de rejoindre l'assassin pour l'attraper par le tissu sous son visage et le relever vivement avec force.

    “ Qu'est-ce que tu fais là ?! Dégage si tu ne veux pas que je t'occisse ! ”

      La seule réponse qui fut accordée à l'inconscient alors que la main gantée du tueur serra son poignet fut un léger rire moqueur tandis qu'il saisit discrètement à sa taille, l'une de ses précieuses fioles. Il laissait le temps aux autres de s'approcher certainement amusés. Ils devaient avoir compris qu'il s'agissait d'un lycanthrope. Ils apprendraient ce soir, et ce serait leur dernière leçon, qu'il ne fallait jamais sous estimer un adversaire.

    “ Es-tu fou ? Ignores-tu donc qui nous sommes ?! ”

      Mais la réponse du loup ne fut qu'un rire plus franc cette fois. Il n'avait pour but que de les agacer. D'un mouvement vif, une fois qu'il jugea ses cibles suffisamment près d'eux, il retourna le poignet de celui qui c'était saisi de ses frusques pour, dans le même mouvement, briser une fiole sur son visage. Un cri échappa au démon surpris alors qu'Erianor le repoussa pour n'être pas éclaboussé. À terre, sa victime se tenait le visage en hurlant. Il venait d'être aspergé d'acide. Enfin la voix du meurtrier s'éleva alors qu'un sourire carnassier étirait ses lèvres.

    “ Je sais parfaitement qui vous êtes. Des morts en sursis.”

      La surprise passée, le second “protecteur” s'élançant, lame en main sur l'agresseur. Celui-ci, bien moins à l'aise avec les armes que les poisons, n'était néanmoins pas un novice. Il eu le temps de sortir son krisse pour parer la lame avant qu'elle ne lui tranche la gorge. S'en suivit un affrontement où tour à tour, l'un et l'autre prit le dessus sur l'adversaire. Lorsque dans le champ de vision de l'assassin, il vit ses cibles tenter de fuir, d'un mouvement circulaire rapide tout en s'abaissant, il sectionna les tendons d'Achille de l'assaillant, qui s'effondra sans pouvoir tenir sur ses jambes.

    “ Ne bouge pas, je reviens. Sois sage.”

      S'il avait été touché par son adversaire, par chance, il ne s'agissait pas de blessures importantes. Il devait en être de même - malgré qu'il ne puisse plus tenir sur ses jambes - pour le démon.

      Le loup, usant de la rapidité propre à ceux de sa race, fit face aux fuyards. Il s'agissait de trop jeunes démons pour qu'ils jouissent de pouvoirs très développé. Erianor le savait, ses renseignements étaient précis. Les trois eurent beau sortir rapières et autres lames, ils n'eurent aucune chance. D'ailleurs, sans ses fioles, l'assassin n'en aurait eu aucune lui non plus. Immunisé contre ses propres créations, il n'encourrait pas le moindre risque de ce côté là. En revanche, il s'agissait d'une toute autre histoire pour les novices face à lui. Si deux tombèrent rapidement sous l'effet des poisons qu'ils avaient reçu au visage alors qu'ils se défendaient comme des diables, le dernier lui était bien plus agile. Il n'en resta pas moins qu'il ne survécu à la rencontre. Retournant sur ses pas, le loup acheva le dernier aux tendons tranchés et lui faisant inhaler un paralysant. Celui-ci s'attaqua à ces muscles y compris ceux qui lui étaient vitaux.

      L'adrénaline retomba alors que l'assassin laissa sur le sol sa signature, cette fleur noire maudite dont on parlait jusque dans le palais Lazarre où, il le savait, résidait son frère. L'excitation passée, ce fut la douleur qui prit place. Il réalisa alors seulement avoir été touché plus sévèrement qu'il ne le pensait. Relevant le tissu qui le recouvrait, grimaçant, il constata qu'il lui faudrait suturer sans quoi, même avec sa faculté de cicatrisation, il se viderait de son sang avant l'aube. Chose que même avec la meilleure volonté du monde, il était bien incapable de faire sur lui-même. Un bandage improvisé ferait parfaitement l'affaire jusqu'à ce qu'il soit de retour au coeur de abri des lycanthropes.

      Grognant, il prit la route par dépit en direction du couvent, mais déjà, le sifflet résonna dans Florence. L'affrontement avait ameuté des gardes par le bruit qu'il avait engendré. Déjà les corps venaient d'être retrouvés. Erianor dû se montrer particulièrement vigilant et user jusqu'à en abuser de détour pour finalement, retourner au Couvent. En digne paranoïaque, il s'était assuré à maintes reprise de n'avoir été suivit. Une fois dans l'enceinte du refuge, il pu légèrement se détendre.

      À peine fut-il arrivé que déjà ses pas le guidèrent vers la salle de soin. L'adrénaline n'étant plus là, son avancée était plus lente, plus pénible aussi et lorsqu'il arriva dans la pièce, il ne pu retenir un soupir de soulagement. Appuyé contre le mur, le bras le long du corps, du sang s'écoulait le long de ses doigts. Il eut la désagréable surprise de découvrir la pièce vide. Personne n'était encore là. L'heure tardive avait peut-être laissé entendre que cette nuit, personne ne viendrait. S'avançant, il observa les instruments ici et là. rien qu'à l'idée de devoir panser seul sa plaie béante, il en tournait presque de l'oeil. Lorsqu'il s'agissait des plaies des autres, il n'avait aucun problème, mais son propre sang, lorsqu'il ne s'agissait pas de blessures légères, lui posait de sérieux problème.

      Il avait d'ailleurs l'air malin ce tueur sans pitié et sans scrupule à presque trembler à l'idée de se recoudre lui même alors que d'ici quarante huit heure, s'il était soigné correctement, il ne paraîtrait plus rien si ce n'était une cicatrice légère...

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