Valerian Machiavel Admin Prince Lycan
Messages : 778 Points RP : 174 Âge : 12 ans Race : Traitre Profession : Roi des cons
| Sujet: Marius Lazarre - Prince et Souverain des Démons [Pris] Mar 1 Sep - 17:51 | |
| ¤ Souverain des démons ¤
Merci de me contacter par MP avant de vous approprier le rôle et de lire ma fiche complète. Celle-ci n'est constituée que d'un seul texte, mais tout y est. Je demanderai également quelqu'un d'un bon niveau de RP et non d'un débutant. Nom : Lazarre
Prénom : Marius
Âge réel : 666
Âge physique :
Physique : ( 5 lignes minimums)
Histoire : ( 15 lignes minimums)
Son Père - le Roi - a été mis à mort lors de l'affrontement contre la famille royale des Lycans. Des rumeurs disent que c'est Marius qui a organisé sa mort afin de prendre sa place. D'autres prétendent que c'est le Père des jumeaux qui l'a tué. Durant sa jeunesse, il s'éprit d'une humaine, Iléan Adellen. Ceci date d'un temps où il n'était guère si cruel. Les deux êtres s'aimaient sincèrement et lorsque Marius délivra le secret de sa nature à la jeune femme, celle-ci ne le chassa pas. Le père de Marius ne vit pas cela d'un très bon oeil. Comment diable son fils avait-il pu s'enticher d'une misérable humaine ? Pire encore ! Comment avait-il pu osé la mettre enceinte ? Sa réaction fut violente au point qu'il fit perdre son enfant à Iléan avant qu'elle n'eut pu annoncer sa grossesse à Marius. Agissant dans le dos de son fils, il tourmenta deux années durant la jeune femme, la marquant d'une salamandre au fer chauffé à blanc sur l'épaule. Continuant ses intrigues, il l'écarta de Florence faisant croire à Marius qu'elle l'avait fuit et quitté. De cette manière, le roi démon s'assura que son héritier devienne plus cruel que lui-même et que rien n'entrave son règne futur. Bien sûr, les blessures de Marius ne se sont jamais refermées, il a simplement "enfermé" ses sentiments dans une boîte, pensant Iléan aujourd'hui morte. Iléan étant désormais sur le forum, je me permets de recopier des passages communs entre les deux personnage, passage provenant de sa fiche et ceci avec son accord : - Spoiler:
L'an de grâce 885 me vit naître. Issus de noblions, j'étais promise à une vie bien ennuyeuse de reproductrice, car oui, à quinze ans déjà mon père dans sa grande bonté, avait désigné pour moi, un jeune homme de dix-sept ans - bon parti à l'entendre, de surcroît - que je ne connaissais pas. Mes frères, plussoyaient cette décision, quant à ma mère, en épouse soumise et parfaite, elle l'appuyait. Dans deux ans, je devrai me marier et pour l'honneur de la famille, offrir à cet étranger un héritier. Mes aspirations n'avaient aucune valeur, je n'étais qu'une femme, née pour servir et reproduire. Ainsi allait le monde.
Je ne m'insurgeais guère contre cette décision bien que je chérissais à d'autres ambitions, nourrissais d'autres envies. J'étais persuadée que d'une manière ou d'une autre, j'échapperai à leur dessein.
J'avais dix-sept ans à peine et dans un peu plus de six mois, je devais épouser celui que je n'avais toujours pas rencontré, lorsque je fis la connaissance d'un jeune homme. La situation fut particulièrement incongrue. N'en déplaise à mon père qui venait d'acquérir un splendide cheval encore sauvage, en robe, comme un homme, je l'enfourchais. L'animal ne se montra guère rétif, avait- il comprit que tout comme lui, on avait décidé de mon propre destin ? Il se laissa faire et nous quittions le domaine familiale pour nous rendre dans la forêt voisine qui avait pour réputation d'être peuplée de démons et diables en tout genre. Depuis l'âge tendre je bravais les interdits, m'y rendant presque quotidiennement, aussi, je savais leurs contes histoires de mère-grand. Au galop je n'arrêtais ma monture qu'après une longue chevauchée, près d'un cour d'eau, afin qu'il puisse se désaltérer. Ayant quitter ma scelle, à côté de lui, je flattais son encolure.
Persuadée d'être seule, je n'avais observé autour de moi et lorsqu'une voix s'éleva, je sursautais, trébuchant et me retrouvant le postérieur dans l'eau. Mauvaise perdante, les joues empourprées, les rires qui suivirent ne me plurent absolument pas. Aussi, lorsque celui qui m'avait fait peur s'approcha de moi pour me tirer de ce mauvais pas, ce fut fièrement et par vengeance que je le fis me rejoindre dans le cours d'eau.
- Ça vous amuse de faire peur aux demoiselles et de rire à leurs dépens ? Lui avais-je lancé, furieuse.
S'en suivit des éclaboussures, lancées de boue et surtout, des éclats de rires de bon coeur. Je ne connaissais toujours pas son nom alors que l'heure de rentrer était déjà venue. En nous séparant, ni l'un ni l'autre nous ne déclinions nos identités et peut-être était-ce mieux comme cela.
À mon retour au domaine, ce fut mon père qui m'accueillit, furieux, hors de lui, fou d'inquiétude. Sa colère ne fut guère apaisée lorsqu'il me vit rentrer dans un triste état et montant comme un homme de surcroît. Ses cris, ses ordres, ses remarques, je ne les perçu même pas, m'interrogeant sur l'identité de celui avec qui mes fous rires avaient été partagés sans se soucier du protocole, de la politesse poussée à l'excès ou bien de savoir ce qu'une femme était ou non en droit de faire. Le lendemain pourtant, je le rejoignis de nouveau et, encore une fois, jeux enfantins et puérils, rires et légèreté furent notre. Les mois s'écoulèrent ainsi et bientôt, mon mariage fut proche.
Naturellement, je ne pu le dissimuler à mon acolyte très observateur. J'étais miné et cela se voyait. Lorsque je lui dévoilait la cause de mon tourment, il s'insurgea et m'affirma qu'il trouverait une solution pour que je n'a à épouser cet étranger. Lui souriant simplement, ne disant rien, je ne le croyais pas le moins du monde et pourtant...
La veille au soir du "grand jour", j'entendis quelque chose frapper à ma fenêtre de chambre. Le son était semblable à celui du bec d'un oiseau, lorsque j'ouvris, ce fut lui, en bas, que je découvrais. Silencieux, il me fit signe de le rejoindre, ce que je fis. Consignée dans mes quartiers, la tâche fut ardue, mais rusée comme le renard, j'y parvins. M'entraînant dans les écuries, il me dévoila ses projets, et par la même, son identité. Enfin je savais qui il était bien que j'ignorais totalement qui était la famille Lazarre. Son plan consistait à ce que nous prenions tout deux la fuite loin de nos familles. Je ne cherchais pas à réfléchir sur la manière dont nous pourrions survivre ou bien comment subvenir à nos besoins. Pour être honnête, j'aurais suivit Marius au bout du monde s'il me l'avait demandé. Scellant nos monture sur l'instant, au galop, nous prenions la fuite.
Nous passions une année entière sur les routes, nous nous découvrions et vivions chaque "aventure" comme s'il s'agissait de la dernière. Nous ne restions jamais au même endroit, Marius semblait fuir quelque chose, ou plutôt quelqu'un et j'étais bien loin de m'imaginer ce qu'il me révéla six mois plus tard. L'entendre parler de démon me fit sourire, je ne le croyais pas le moins du monde et il s'en fallut de peu pour que je me moque de lui. Il dû employer alchimie, pouvoir et m'initier à l'onirique pour qu'enfin, je réalise qu'il ne se moquait guère de moi. Sa crainte était que je le repousse, mais pourquoi l'aurais-je fait ? S'il ne m'avait dévoilé sa nature, il était malgré tout resté lui-même en ma présence. Il aurait été farfadet que cela n'aurait rien changé pour moi.
La nuit de cet aveux, pour la première fois, nous nous aimions et nous nous offrions l'un à l'autre.
Cela faisait trois ans à présent que nous nous étions enfuit et cette fois, j'en étais certaine. Mon corps ne trompait pas. J'avais une grande nouvelle à annoncer à Marius, il allait être père, j'étais enceinte. J'étais impatiente de le lui annoncer, mais ce soir là, ce ne fut guère celui que j'espérais qui me rejoignit. L'homme face à moi se présenta comme le père de celui dont j'étais éprise. Il m'ordonna de quitter son fils. Je fis l'erreur de ma vie de lui rire au nez en évoquant ma grossesse et en lui assurant que jamais je ne le quitterai... Je n'avais pas réalisé que si Marius était un démon de naissance, son père devait l'être aussi...
Cette nuit fut probablement la pire de toute, je ne m'étendrai pas sur ces événements, mais un autre démon vint nous rejoindre, il avait le visage, la voix et l'attitude de Marius. Bien sûr j'ignorais qu'il ne s'agissait pas de lui. Il assista à ce que son père me fit subir, riant, s'amusant et conseillant même son paternel. Le lendemain, m'éveillant, je me trouvais dans une cellule, la robe en sang, ils m'avaient fait perdre mon enfant. Je passais deux années entre leurs griffes acérée persuadée que Marius le savait, que c'était sa volonté. Je nourrissais à son égard une haine farouche que je pensais sans fin. Si je ne perdis la vie, ce n'était qu'en m'accrochant à l'espoir qu'un jour, je me vengerai.
Pourtant, de son côté, Marius ignorait ce qu'il se tramait derrière son dos. Les sbires de son père firent croire que je l'avais quitté pour un autre, que je le trompais et que je n'étais avec lui que par pitié, pour ne pas qu'il se retrouve seul. Il prétendirent que j'étais enceinte d'un autre et que pour cette raison, je l'avais quitté. Après tout, je m'étais enfuit de chez mes parents, pourquoi n'aurais-je pas renouvelé ma fuite ?
Une nuit, un vieillard vint à moi, soigna mes blessures, mais la salamandre faite au fer chauffé à blanc sur mon omoplate ne me quitta jamais plus. Il prétendit lui aussi en vouloir à la famille Lazarre et savoir comment nous aurions notre vengeance. Trop éprouvée, je le laissais faire et ne luttais pas lorsqu'il m'emporta.
[...]
M'infiltrant au palais de Marius, désormais, je joue avec lui, apparaissant furtivement sous son regard, à une fenêtre, dans l'entrebâillement d'une porte, pour disparaître, cherchant ainsi à la hanter et le tourmenter pour ce qu'il m'a fait. Mais qu'arrivera-t-il si nous nous retrouvons ? Lèverons-nous le voile sur les intrigants ou bien continuerons-nous de nous haïr ?
Il vit au le Pallazzo Vecchio aujourd'hui. Dans ses geôles, il retient prisonnier les deux Princes lycans - Jehan et Valerian Machiavel - et s'amuse avec eux. Hormis cela, vous êtes totalement libre. Caractère : ( 7 lignes minimums) Il hais les lycans et vous une fureur inconsidéré contre les femmes n'hésitant pas à les faire souffrir - se jouant parfois de leurs sentiments - même s'il s'agit de démone. Fourbe, Menteur, Manipulateur, Cruel, c'est un véritable monstre, à vous de jouer. Il est néamoins Charismatique et dissimule les sentiments à l'égard de celle qu'il pense morte. S'il la retrouvait, la colère passée, il ne laisserait plus rien ni personne la lui reprendre. Il ne supporte pas que l'on parle de cette époque où il n'était pas encore le mal incarné. Pouvoirs : ( Pas plus de deux pouvoirs, dont un mineur, donc moins développé, et un majeur, extrêmement bien maîtrisé. Il faut également être logique selon l’âge réel de votre personnage) Autres précisions : Quel sorte d'esclave souhaitez-vous ? Lien avec un autre personnage ? Il est le cousin de Thomas Hastings, il était éprit d'Iléan Adellen avant que son propre père ne se joue d'eux, il a forcément déjà rencontré au moins une fois Valerian et Jehan Machiavel puisqu'il les détient dans son palais ^^ Nom de la personnalité publique de votre avatar : Libre mais choisissez un homme charismatique et crédible Comment avez-vous connu le forum ? Fréquence estimée de présence : Très régulière Fréquence estimée de postage : Idées ou suggestion ? Mots de passe : (il y en a 3 de cachés dans le règlement, [ Terminé ], [ PV ] et [ Libre ] n’en sont pas) | |
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